Critique : The Worst of Suicide Squad, l’anthologie

The Worst of Suicide Squad Critique

Une rétrospective Suicide Squad.

Public visé : 12+
Collection : DC Classiques
Éditeur
: Urban Comics

Date de sortie : 9 Juillet 2021
Pagination : 472 pages

 

Meet the Squad

Bloodsport, Javelot, le Penseur, Ratcatcher, Peacemaker, Savant, la Fouine, Mongal, King Shark, et le terrifiant Polka-Dot-Man ! Voici les nouvelles recrues enrôlées par le gouvernement américain et placées sous les ordres d’Amanda Waller et de Rick Flag, au sein de la Force Spéciale X, la Suicide Squad ! Aux côtés des vétérans, Harley Quinn et Captain Boomerang. Du coup Urban Comics nous propose une rétrospective pour re(découvrir) les membres de l’équipe la plus volatile. Une bon gros pavé qui va, au fil de ses 472 pages nous offrir une histoire sur chacun de ses membres, histoire de mieux le cerner avant de peut-être le voir disparaitre.

Une rétrospective donc et non un récit complet, qui débutera en 1959, avec notre ami Rick « Le Drapeau » Flag, seul militaire de métier devant se farcir une bande de vilains de série B dans dans des missions que les héros classiques ne pourraient ou voudraient accomplir. Au Menu : Legends #1-4 ; Superman #4 ; Superman #170 ; Detective Comics #300 ; Superboy #9 ; Vigilante #36 ; The Flash (2010) #7 ; Doom Patrol and the Suicide Squad #1 ; Detective Comics #585-586 ; Birds of Prey #74 ; Green Lantern #173-174 ; Booster Gold #1 ; Suicide Squad (1987) Annual #1 ; Harley Quinn & the Suicide Squad April Fools’ Special #1 ; The Brave and the Bold #25.

De quoi voyager à travers le temps entre véritable nanar et aventure tarée comme seule Harley, chez DC Comics, peut produire.

 

Un contenu hétéroclite

The Worst of Suicide Squad a les défauts et qualités de sa forme mais aussi de son sujet.

Côté défauts, un recueil d’histoires indépendantes piochées sur plus de 50 années de publications, pas de réel lien que ce soit entre les personnages mais aussi sur la narration et la qualité du récit, encore une fois on oscille entre nanar, histoire au message politique (Bloodshot), aventure barrée et récit plus conventionnel pour ne pas dire linéaire et attendu comme dans 70% des bédés. Tous les personnages ne sont pas intéressants et certains ne font que de courtes apparitions au sein d’un récit qui ne leur est pas dédié puisqu’ils sont l’antagoniste, le méchant de service.

Côté qualités, un recueil d’histoires indépendantes piochées sur plus de 50 années de publications, un moment d’histoire donc, entre premières apparitions et moment historique, comme, encore une fois, dans le récit de Superman qui le voit finir aux urgences à cause de Bloodshot. Chaque histoire vous envoie dans une narration, un univers différent. Et puis avec ses 472 pages, le recueil est généreux.

Si le sujet vous intéresse et que vous désirez continuer l’expérience The Worst of Suicide Squad, Urban Comics propose aussi les archives de la Suicide Squad (Tome 1 à 4) et Suicide Squad Intégrale dont le premier tome est paru en même temps que l’ouvrage dont nous parlons ici.

 

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