Le dernier opus de la franchise aura su se faire languir. Ironie du sort, alors qu’il devait être le premier jeu qui sortirait sur Wii U, The Legend of Zelda : Breath of the Wild en sera le dernier.
Bien entendu, je me retrouve manette en main à lancer le dernier épisode de la franchise. Et là… Éblouissements et émerveillements emplissent mes yeux d’enfant à chaque pas que fait Link, mon héros. Ce n’est pas mon anniversaire, ce n’est pas Noël, c’est LE plus beau jour de ma vie (ce n’est pas contre toi mon cœur…).
Dès le début du jeu je suis subjuguée : l’environnement et son écosystème me saisissent et je suis ébaubie devant chaque détail. Tout m’impressionne. Le cycle jour/nuit, les effets météorologiques, l’animation des personnages et animaux qui m’entourent… Je repère rapidement les clins d’œil fait aux fans et ne peut que me satisfaire de ne pas avoir été mise de côté. Le scénario me passionne et je m’active pour trouver les tours, les sanctuaires, les villages, les relais, les noix de koguru, mais avant tout, pour retrouver les souvenirs qui me permettront de mettre du sens à ma quête ! Bien que ce dernier point est vite mis de côté face à toutes les possibilités qui s’offrent à moi. Je papillonne, je gravis une montagne, je parcours une prairie, je tue quelques monstres… Une telle liberté ne m’avait jamais été proposée dans un autre jeu. Je peux faire ce que je veux, dans l’ordre que je veux. Et j’apprécie.
Vous l’aurez compris, ce jeu m’a plu, du début à la fin ! Que ce soit cette stupéfiante direction artistique, son impressionnante durée de vie ou son exploration fascinante. Certain(e)s diront que c’est parce que je suis une fan des premiers instants et que je suis capable d’apprécier n’importe quoi tant que ça parle de Link. Peut être. Mais je défie quiconque de ne pas passer un bon moment sur cette pépite vidéoludique. Plus qu’un must-have, c’est une expérience unique que propose The Legend of Zelda : Breath of the Wild.