Les jeux de notre enfance #1 : Duke Nukem – Time to Kill

Les jeux de notre enfance Duke Nukem Time to Kill

Notre nouvelle rubrique vient de naître, les jeux de notre enfance. Tour à tour, un membre de la rédaction va s’atteler à dévoiler un jeu vidéo qui a marqué son enfance.

C’est en toute logique que naît une nouvelle série d’articles sur Try aGame, une chronique qui sera intitulée « les jeux de notre enfance ». La nostalgie nous fait souvent penser à notre enfance et aux moments passés lorsque nous étions encore innocents, lorsque nous n’avions pas formé un esprit aiguisé et pertinent pour formuler des critiques envers un jeu. Nos jeunes années nous ont fait oublier bien des défauts pour l’amour du jeu vidéo et cette magie qui nous hypnotisait devant l’écran. Aujourd’hui, nous sommes devenus plus exigeants envers les créateurs dans tous les domaines culturels. Il n’est donc pas question de chercher la petite bête dans un jeu d’une autre époque mais de raconter un souvenir qui nous rattache à lui, ou les raisons qui nous ont poussé à créer un lien avec.

Voici le premier souvenir partagé par TobyOne à propos d’un jeu de son enfance.

Duke Nukem: Time to Kill

LES JEUX DE MON ENFANCE DUKE NUKEMNous sommes en 1998 et je m’apprête à découvrir un héros du jeu vidéo comme l’industrie en fait trop peu. C’est bien de Duke Nukem dont je parle. Du haut de mes 9 ans, (ou plus) je ne me souciais pas de ne pas connaître les précédents épisodes, Total Meltdown et les autres. Encore aujourd’hui, je n’ai pas rattrapé mon retard et je m’en fiche royalement. Duke Nukem: Time to Kill fait partie des jeux qui ont marqué mon enfance.

L’histoire est simple. Vous incarnez ce gros beauf de Duke. Misogyne, baraque et avec des punchlines toujours bien placés, le blondinet c’est ce gars qu’on aime détester et que l’on trouve cliché à souhait dans les productions hollywoodiennes. C’est un peu notre Steven Seagal (Stallone si vous préférez) du jeu vidéo, le machisme en plus. La menace est extraterrestre enfin anthropomorphe aussi. Dès les premières secondes du jeu, ce sont de gros cochons qui vous tirent dessus. Et les bruitages sont énormes et donnent un résultat absurde et s’inscrit totalement dans le burlesque.

Par exemple, on entre dans un cabaret et une petite maladresse transforme les danseuses en cochons armés. Du grand n’importe quoi sur le papier, du Duke Nukem tout craché. Puis, les passages secrets, les interrupteurs incongrus pour déclencher l’arrivée d’ennemis, tout me plaisait. Les armes, les différentes tenues de Duke, sa façon de découper l’ennemi et les différents environnements proposés, c’était aussi kiffant !

Même l’histoire totalement décalée et improbable m’a gardé le nez dedans. Les ennemis veulent tuer nos ancêtres pour éradiquer leur pire ennemi (nous, Duke !). Alors on se met à voyager dans le temps pour les écraser les uns après les autres. Et c’était ça le plus cool et dont je me souviens le plus. Duke Nukem dans le présent, Duke Nukem dans le passé habillé drôlement à l’époque des cowboys ou du Moyen-Âge. Même le multi en local m’a laissé de bons souvenirs.

Enfin, on retrouvait des codes de triche qui rendaient le jeu encore plus fun. Je me souviens encore, faire grossir la tête du héros, faire rétrécir celle des ennemis. Avoir toutes les armes, munitions infinies et l’invisibilité, j’ai encore une feuille avec tous les codes dessus. Quel pied !

Si l’image du blondinet s’est ternie avec le temps, je garde bien en tête les moments passés sur ce fameux Duke Nukem: Time to Kill.

Nouvelle rubrique consacrée aux jeux de notre enfance. J’espère qu’elle vous plaira, elle me replonge dans une époque où l’on changeait pas de jeux toutes les semaines et l’on gardait précieusement nos titres préférés pendant des semaines voire des mois. Une autre époque, autant pour le public que pour l’industrie.

Pour le reste, toute l’actualité, les tests de jeux vidéo, jeux de société, les chroniques de comics, de mangas et d’ouvrages, est à retrouver sur Try aGame et ses réseaux sociaux Twitter, Facebook, Instagram, Twitch, Youtube.

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