Dans le cadre de la Big Ben Week, nous avons eu l’occasion de poser nos mains sur Gangs of Sherwood.
Gangs of Sherwood se présente comme un jeu d’action coopératif jusqu’à 4 joueurs dans un univers retravaillé de Robin des Bois à la sauce SF/SteamPunk.
Robin, Marianne, Tuck et les autres
Vous connaissez toutes et tous l’histoire de la lutte contre le Shérif de Nottingham, une histoire de rébellion, de vol des riches pour donner aux pauvres. Mais dans cette version revisitée par Appeal Studios, l’ambiance médiévale a laissé place à un steampunk du plus bel éclat dans lequel vous devrez, ou non, faire équipe pour libérer le peuple de l’oppression et vous équiper au passage pour batailler contre une horde d’ennemis prêts à déployer du lance-flamme, du chevalier aux boucliers d’énergie et autres robots tripodes.
Pour y parvenir vous aurez donc le choix entre 4 personnages, au lancement, ayant chacun leurs spécificités, tank soutien, tank bruiser, assassin ou bien évidement archer. Chacun venant avec ses pouvoirs et son arbre de talent pour donner une touche RPG au tout.
Shérif may cry
Articulé comme un beat’em all, Gangs of Sherwood est plaisant à jouer. Les niveaux sont assez dirigistes mais certains passages peuvent être ouverts ou franchis que par certains personnages. On récupère de l’argent, des passifs à trouver et s’échanger entre copains et la difficulté s’adapte en fonction du nombre de personnes dans la partie le tout avec un score attack jugeant de votre performance individuelle. La mise en scène est assez spectaculaire, ça explose, ça fait des flammes partout, ça met bien en scène l’arrivée des ennemis spéciaux, et on appréciera les cutscenes de lancement de mission mettant en œuvre un spectacle de marionnettes assez amusant donnant brièvement le contexte et les objectifs de la mission.
Les personnages répondent bien, se voient dotés de pouvoirs et de combos à débloquer avec le temps et surtout l’argent. Un peu tôt pour porter un avis sur les synergies, d’autant que seuls deux personnages nous étaient disponibles (Tuck et Robin). Dernier point, les personnages sont uniques dans une partie, pas moyen de jouer deux Robin, et ce pour le bien de l’équilibrage de la difficulté.
Un jeu plaisant à jouer donc, qui proposera une aventure découpée en chapitre et en missions avec des modes de jeux qui vont se rajouter.
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